En analysant les revenus mensuels de 2011, nous avons constaté des fluctuations modérées au cours des premier et deuxième trimestres, avec une moyenne avoisinant 0,58 M$. Une dynamique s’amorce au troisième trimestre, avec une progression marquée entre août et novembre, culminant à 1,16 M$. Bien que décembre montre une baisse significative, il convient de souligner que les données pour ce mois sont incomplètes, l’analyse ayant probablement été lancée début décembre dans le cadre de la planification de l’année suivante. Il est donc prématuré de tirer des conclusions définitives sur les performances de décembre. 

Les Pays-Bas, l’Irlande (EIRE) et l’Allemagne ressortent comme les principaux moteurs de la performance hors Royaume-Uni, générant à eux seuls plus de la moitié du chiffre d’affaires international. La France et l’Australie ne sont pas loin derrière, et à elles cinq, ces régions concentrent plus de 70 % de la demande étrangère. Ce qui rend ces marchés particulièrement intéressants, c’est leur équilibre entre volume de ventes et valeur générée : non seulement les clients achètent davantage, mais ils optent aussi pour des produits à plus forte valeur ajoutée. 

Ce graphique met en évidence les revenus générés par client, et un profil ressort nettement : le client 14646, basé aux Pays-Bas, est le principal contributeur, avec plus de 280 000 $ à lui seul. Il est suivi par deux clients à forte valeur du Royaume-Uni, ce qui confirme la dominance globale du marché britannique. Toutefois, cela montre aussi que les clients internationaux peuvent jouer un rôle clé individuellement. On note également des contributions solides en Irlande (EIRE) et en Australie, ce qui renforce l’intérêt stratégique d’une expansion ciblée dans ces régions. 

Ce graphique révèle une forte concentration de la demande internationale dans cinq pays clés : les Pays-Bas, l’Irlande, l’Allemagne, la France et l’Australie. Ces marchés représentent à eux seuls une part significative des ventes hors Royaume-Uni, formant un ensemble stratégique à fort potentiel. On remarque également une activité soutenue en Suède et en Suisse, ce qui témoigne d’un intérêt croissant dans plusieurs régions. Loin d’être ponctuelle, cette dynamique semble s’installer durablement en Europe et en Océanie, ouvrant la voie à de nouvelles opportunités de développement.